En ce début d’année, elle sortait son premier LP We Slept At Last produit par Charlie Andrew, connu pour avoir travaillé avec Alt-J, Nick Mulvey ou encore Eugene McGuiness. Marika Hackman trouve son inspiration dans la British-Folk et la Nu-Folk dont elle redessine les contours tout au long des 12 titres qui jalonnent l’album. La voix cristalline de Marika, une guitare sèche, de fragiles percussions… voilà les 3 ingrédients de base de sa musique.
Ses chansons se diffusent comme une drogue lente nous entrainant dans des mondes sombres et glaçants. De mysterieuses contrées s’offrent alors à nous… Les sonorités brutes et obscures enveloppent sa voix claire, véritable fil conducteur de lumière. Marika nous conte son histoire et ses doutes à la manière de légendes du nord d’une beauté froide et remarquable.
Dans ce fragile équilibre entre mélancolie et grâce, Marika nous évoque Warpaint ou encore Nirvana. Ce premier album, d’une maturité incontestable, place Marika Hackman au rang d’artiste à suivre de très près.
Pour ceux qui seraient tombés sous son charme, elle se produira à Genève, le 15 Mai, à l’Usine.
Les titres Open Wide et Skin sont actuellement dans la programmation de journée d’Ellebore.
