Leur premier album au titre aussi beau que sa pochette, Les Abords du Lycée, est sorti cette année en co-production avec le label parisien Mon cul c’est du tofu. Les kids de France viendront à Chambéry vous parler de leurs préoccupations : la violence des jeunes, les voyages en stop ratés, et la déprime de la campagne.
Pourriez-vous vous présenter brièvement pour nos lecteurs et auditeurs?
Pourriez-vous nous raconter votre rencontre?
Taulard est né fin 2009. Josselin a rencontré Nico Synthé à la fac, puis Nico Batterie et Jérôme par l’intermédiaire de leur cousin, quelques mois avant qu’on ne commence. Il a alors rassemblé tout ce beau monde pour faire un groupe, Nico et les deux frères ne se connaissaient pas encore lors de notre première répète.
Comment se passent vos phases de créations et où puisez-vous votre inspiration?
Qu’est ce que vous aimez entendre de la part du public à votre sujet… et que ne voulez plus entendre?
On ne se soucie pas vraiment de l’avis du public, même si les gens ont l’air d’apprécier notre musique (sauf nos mamans!), et qu’on est bien contents de voir du monde remuer quand on joue !
Si vous deviez choisir un animal qui représente votre musique, ce serait lequel?
On n’a jamais vraiment réfléchi à la question, on est de sacrés animaux par nous-mêmes !
Je vous envoie demain sur une île déserte pour un an. Vous avez le droit d’emmener 3 albums chacun et un objet de votre choix, vous choisissez quoi?
Josselin : Zounds « The curse of Zounds », Neil Young & Crazy Horse « Everybody knows this is nowhere », Michael Jackson « Thriller » et mon synthé avec profusion de piles.
Quels sont vos projets musicaux pour l’année 2015?
On a deux nouveaux morceaux qu’on va enregistrer pour faire un split avec Ultra Démon. On aimerait tourner plus quand l’école sera finie, aller dans le nord et jouer en Angleterre.